Lors du débat d’orientation budgétaire de Caen La Mer, Rodolphe Thomas, MODEM, a décidé de tirer la sonnette d’alarme sur la situation financière très dégradée dans laquelle se trouve l’agglomération.
Déjà, il y a trois ans, les élus d’Hérouville ont été les seuls à demander à Philippe DURON de ne pas créer de nouvel impôt ménage, en soulignant qu’il était indispensable de revenir à une gestion plus rigoureuse, une gestion de père de famille.
Depuis 2008, les habitants de l’agglomération ont versé plus de 9 millions d’euros d’impôts nouveaux à CAEN LA MER. Malheureusement, force est de constater que cette somme n’a servi qu’a couvrir les dérapages financiers en terme de fonctionnement de cette collectivité.
Les projections présentées dans le DOB 2012 prévoient une augmentation de 18 % de la fiscalité ménage en 2012.
Déjà, il y a trois ans, les élus d’Hérouville ont été les seuls à demander à Philippe DURON de ne pas créer de nouvel impôt ménage, en soulignant qu’il était indispensable de revenir à une gestion plus rigoureuse, une gestion de père de famille.
Depuis 2008, les habitants de l’agglomération ont versé plus de 9 millions d’euros d’impôts nouveaux à CAEN LA MER. Malheureusement, force est de constater que cette somme n’a servi qu’a couvrir les dérapages financiers en terme de fonctionnement de cette collectivité.
Les projections présentées dans le DOB 2012 prévoient une augmentation de 18 % de la fiscalité ménage en 2012.
Ni les communes, ni les habitants de CAEN LA MER n’ont les moyens d’apporter une nouvelle aide financière à une collectivité qui « navigue à vue » tant en matière d’investissement qu’en fonctionnement.
Philippe DURON doit adapter de toute urgence le train de vie de l’agglomération au budget dont il dispose et de remettre à plus tard les investissements qui n’apparaissent pas indispensables aux habitants comme la création du nouveau siège de CAEN LA MER.
Concernant la Bibliothèque à Vocation Régionale, l’investissement de 62 millions d’euros dont 32 millions d’euros à la charge de l’agglomération peut très bien être revu à la baisse sans altérer le projet et tout en conservant le bénéfice des aides de financements de nos partenaires.